jueves, 30 de marzo de 2017

Les collages de Jacques Prévert à L'Alliance Française



     

Jacques Prévert est essentiellement connu pour ses poèmes et les films qu’il a écrit, mais il a aussi réalisé ces travaux de collages réalisés à une époque où il était proche du mouvement surréaliste.Tout au long de sa vie, Prévert s'est lié d'amitié avec de nombreux photographes, de ceux qui étaient proches des surréalistes, tels Man Ray, Brassaï, Robert Doisneau, Izis, Willy Ronis, André Villers, le décorateur de cinéma Alexandre Trauner. Ce demi-siècle de connivences a inspiré de nombreux livres réalisés en collaboration, mais aussi des jeux de correspondance entre l'écriture et la photographie.     

Cette exposition présente un aspect de sa création peu connu du grand public : les collages. Rares et fragiles, les oeuvres exposées sont pour la plupart issues de collections privées. Son ami Picasso lui a dit, en découvrant ses collages : « Tu ne sais pas peindre, mais pourtant tu es peintre. »
Le matériel de prédilection de Prévert, utilisé pour réaliser ses collages, était les oeuvres de ses amis photographes, qu’il associait à des images glanées au fil de ses promenades ou trouvées dans des magazines.
Dans ses assemblages, il recrée une nouvelle réalité, éloignant les images originales de leur signification pour les métamorphoser et en composer d’autres, surprenantes, curieuses, envoûtantes et belles, qui constituent un prolongement direct de son écriture imagée : un jeu sur le détournement d’aphorismes ou d’expressions populaires, la relecture ou la réappropriation d’images existantes.
On y retrouve les préoccupations et, parfois, les obsessions présentes dans ses écrits : « Quand on ne sait pas dessiner, on peut faire des images avec de la colle et des ciseaux, et c’est pareil qu’un texte, ça dit la même chose ». Des anges, des bêtes, des Christ, des clowns, des coeurs, des hommes à tête de hibou ou de chauve-souris, des peintres, des saints, des Napoléon, des nains – les collages de Prévert témoignent de sa vision onirique du monde, de son rejet des institutions, de sa tendresse pour les femmes et les enfants, de sa compassion pour les animaux.
En 1948, en repos forcé à Saint-Paul-de-Vence à la suite d’un accident, Prévert s’est mis à pratiquer plus assidûment cet art du collage. « Jacques s’exprime de plus en plus par les collages, comme il a fait par les poèmes. Mais je pense que ces collages, au fond, sont des poèmes », a dit son éditeur, René Bertelé. « Et d’autre part, il se rend compte maintenant que certains de ses poèmes sont en quelque sorte des collages de mots, si on veut. »
Prévert trouvait des images pour ses collages au hasard : il chinait, à la Foire à la Ferraille et aux Puces, des pages de magazines de luxe et de journaux, des reproductions de toiles célèbres du Louvre ; ou, pendant ses promenades sur les quais de la Seine, des gravures anciennes, rue des Saint-Pères ou rue Jacob, dénichant des planches d’anatomies coloriées, et rue Dauphine, chez Labarre, où il se fournissait en chromolithographies rutilantes. « En général, dit-il à son frère Pierre, ce que je prenais, c’est dans les poubelles, les choses méprisées ou désaccordées. Moi, je trouvais ça très joli. »
Il les rangeait, sans hiérarchie, dans des cartons et des tiroirs : « Quand quelque chose me plaît, je le découpe et je le mets dans un tiroir. Mais il faut que ça me plaise. Il y a des gens qui m’amènent quelquefois de très jolis livres, de vieux catalogues en me disant « c’est pour vous ». Mais ce n’est pas vrai, ce n’est pas pour moi. Je ne trouve rien là-dedans à garder. Quand ça me plait, je le vois tout de suite. »
Dans son bureau rempli de pots de stylos, de ciseaux et de grattoirs, de colle, de boîtes de pastels, de crayons et de feutres, les fragments d’images ou les pages de journaux arrachées pouvaient rester des années avant de trouver leur place dans un collage. Jacques Prévert ne se contentait pas d’assembler les images, les photos : il les travaillait, les transformait avec des coloriages et des rehauts, et, pour créer des effets de texture ou des éclats de lumière, en grattait la surface. « On dit une image en termes poétiques, on peut le faire avec des ciseaux, avec des couteaux, n’importe quoi », disait Jacques Prévert.
Nombre de ses collages étaient réalisés sur des lettres ou des cartes postales qu’il envoyait à ses amis intimes, à ses proches. Souvent, la carte ne contenait aucun message ; il y avait au verso, sa signature, et au recto, une photographie transformée. D’autres collages étaient faits sur des exemplaires de ses livres, sur les premières pages intérieures ou en guise de couverture ; il y ajoutait des photos, des ornements et une dédicace au destinataire : son éditeur, son galeriste, son imprimeur, ses amis, etc.
Parmi les oeuvres présentées dans l’exposition figurent :
L’un de ses premiers collages, Portrait de Janine, probablement réalisé en 1943 sur une photographie de Pierre Boucher. C’est un portrait de sa femme en train de danser, qu’il a entouré d’un magnifique cadre de feuilles et fleurs découpées dans de grandes planches botaniques; Les Amants, sur une photographie de Brassaï de deux amoureux, sur laquelle il a collé deux images de coeurs découpés dans des planches anatomiques ; des collages réalisés sur des photographies de graffiti de Brassaï, dont Le Vrai Boris, un collage de Jacques Prévert offert à Boris Vian, son voisin de la cité Véron à Paris et Homme, femme, enfant ; des collages à partir de photographies d’Izis : Les Minets (sur photographie représentant Jacques Prévert sur l’Ile Saint-Louis à Paris), Peintre sur le motif, et Le Désert de Retz, collage qui figure sur la couverture de l’édition originale de son recueil Fatras (1966).
Des documents personnels font également partie des oeuvres exposées : de nombreuses images collectionnées et découpées par Prévert, sorties de ses archives, des enveloppes, cartes postales ou livres offerts à sa famille ou ses amis, dont un exemplaire de Charmes de Londres (1952), un étonnant voyage raconté en photographies par Izis et narré par Prévert, entièrement revu et transformé. Cet exemplaire personnel de Jacques Prévert, dédicacé à sa fille, contient des interventions en collage et dessin sur chaque page.
Prévert a été fasciné par les photographies de graffitis que Brassaï avait faites de ces dessins anonymes gravés sur les murs, et les a souvent utilisées en couverture de ses recueils de poèmes et textes. L’exposition présente des maquettes et des éditions anciennes, des éditions poches des recueils Paroles, Spectacle, La Pluie et le beau temps et Histoires, dont les couvertures ont été conçues par Jacques Prévert d’après des photographies de graffitis de Brassaï.

martes, 28 de marzo de 2017

CICLO AKI KAURISMÄKI



 
Antes del estreno de El otro lado de la esperanza, Golem organiza un ciclo con dos títulos clave del director finlandés: Luces al atardecer y El Havre
El ciclo tendrá lugar en los cines Golem Madrid los días 30 de marzo y 4 de abril
El esperado estreno de El otro lado de la esperanza (Oso de Plata Mejor Dirección, Berlín 2017) será precedido por un ciclo de Aki Kaurimäki  en los cines Golem Madrid ( Calle de Martín de los Heros 14). En el ciclo se proyectarán dos importantes películas del director: Luces al atardecer (2006) y El Havre (2011). Esta última inició una trilogía portuaria, que continúa con El otro lado de la esperanza, cuyo estreno tendrá lugar el 7 de abril.
Aki Kaurismäki, inimitable y peculiar realizador, montador y productor finlandés,  tiene en su filmografía más de 20 títulos como director, entre ellos pequeñas joyas como Un hombre sin pasado (Gran Premio del Jurado en  Cannes 2002), Luces al atardecer o El Havre  (Premio Fipresci de la crítica, Cannes 2011). Su amplia y meritoria filmografía fue reconocida en la pasada edición del Festival de Cannes donde recibió la Carroza de Oro por su sobresaliente trayectoria.
 
LUCES AL ATARDECER. Finlandia 2006
Dirigida por: Aki Kaurismäki
Guionista: Aki Kaurismäki
Reparto: Janne Hyytiäinen, Ilkka Koivula, Maria Järvenhelmi, Maria Heiskanen
Sinopsis: Koistinen, un guarda de seguridad que trabaja de noche, recorre las calles buscando un pequeño lugar al sol, pero la indiferencia general y la mecánica sin rostro de la sociedad se unen para hacer trizas, una tras otra, sus modestas esperanzas.Un grupo de mafiosos explota su sed de amor y su profesión con la ayuda de una mujer calculadora. Organizan un robo del que se acusa a Koistinen como único responsable.El guarda de seguridad pierde su trabajo, su libertad y sus sueños.


 
EL HAVRE. Finlandia/Francia 2011
Dirigida por: Aki Kaurismäki
Guionista: Aki Kaurismäki
Reparto: Jean-Pierre Léaud, Kati Outinen, Jean-Pierre Darroussin, André Wilms, Evelyne Didi, Blondin Miguel.
Sinopsis: Marcel Marx, escritor y bohemio empedernido, se ha autoexiliado en la ciudad de El Havre, donde siente que está más cerca de la gente después de adoptar el honrado, aunque no muy provechoso, oficio de limpiabotas. Ha enterrado el sueño de convertirse en un reconocido autor y vive felizmente dentro de un triángulo compuesto por su bar preferido, su trabajo y su esposa Arletty. Pero el destino hace que se cruce con un emigrante menor de edad llegado del África negra. Arletty enferma, y a Marcel no le quedará más remedio que alzarse una vez más ante el frío muro de la indiferencia humana con el optimismo que le caracteriza y la solidaridad de los habitantes del barrio como únicas armas. Pero se enfrentará a la maquinaria ciega de un Estado constitucional, representado por la policía, que sigue la pista al joven refugiado. Ha llegado el momento de que Marcel se lustre los zapatos y enseñe los dientes.

EL OTRO LADO DE LA ESPERANZA. Finlandia  2017
Dirigida por: Aki Kaurismäki
Guionista: Aki Kaurismäki
Reparto: Kati Outinen, Tommi Korpela, Sakari Kuosmanen, Janne Hyytiäinen, Ilkka Koivula.
Sinopsis: Helsinki. Khaled, un joven inmigrante sirio, llega oculto de polizón en un barco de carga procedente de Polonia. Mientras, un comercial anodino llamado Wikström decide poner fin a su matrimonio, cambiar de negocio y abrir un restaurante poco frecuentado. Sus caminos se cruzarán y Wikström ofrecerá a Khaled techo, comida y trabajo. Pero el sueño del chico es encontrar a su hermana, que también huyó de Siria.
 

jueves, 23 de marzo de 2017

Leonardo da Vinci, por Christian Gálvez


Leonardo da Vinci –cara a cara-, de Christian Gálvez
 
El encuentro tendrá lugar el jueves 23 de marzo a las 13 horas en la Biblioteca Nacional de España (Paseo de recoletos, 20. Madrid).
 
El trabajo de investigación de Christian Gálvez, que verá la luz en su ensayo Leonardo da Vinci –cara a cara–, será presentado oficialmente en la Biblioteca Nacional de España. En él han colaborado especialistas de diferente índole, desde los técnicos en morfopsicología de la Unidad Central Operativa de la Guardia Civil Juan Manuel García López y José Diego de Alba González hasta Francisco Etxeberria –especialista en Medicina Legal y
Forense y en Antropología y Biología Forense– y los resultados obtenidos no solo le han valido el reconocimiento simbólico a nivel internacional sino que también le han permitido entrar en el círculo de confianza de los eruditos de Leonardo da Vinci tales como:
 
  • Ross King, novelista canadiense y escritor de ensayos bestseller sobre arte.
  • Dott. Giovanni Saccani, director de la Biblioteca Real de Turín, en cuya colección se encuentra el dibujo conocido como Autorretrato de Leonardo da Vinci.
  • Direttore Alessandro Vezzosi, crítico de arte, erudito en Leonardo da Vinci y director del Museo Ideale Leonardo da Vinci.
  • Martin Kemp, profesor emérito de Historia del Arte en la Universidad de Oxford y autoridad de prestigio mundial en Leonardo da Vinci.
  • Nicola Barbatelli, director científico del Museo delle Antiche Genti di Lucania y descubridor de la Tavola Lucana.
  • Mario Taddei, académico italiano y director técnico e investigador jefe del centro de estudios italiano Leonardo en Milán.
  • Carlo Vecce, profesor de Literatura Italiana en la Universidad de Nápoles y miembro y secretario de la Comisión Vinciana desde 1994.
 
Estas personalidades aceptan a Christian Gálvez como investigador, debaten sus aportaciones al universo vinciano y colaboran con sus declaraciones e investigaciones en el trabajo de Gálvez.
Asimismo, y gracias al Prof. Jesse Ausubel –director de la investigación Proyecto Leonardo, catedrático de la Univ. Rockefeller de Nueva York y vicepresidente de la Richard Lounsbery Foundation– y al Dr. José Antonio Lorente Acosta –catedrático de Medicina Legal y Forense y director del Laboratorio de Identificación Genética de la Universidad de Granada, director del GENYO, miembro de la Comisión Nacional de Especialidad de Medicina Legal y Forense de España, director científico del Proyecto de Identificación Genética de los restos de Cristóbal Colón, director científico y propulsor del Programa DNA-PROKIDDS y miembro del Proyecto Leonardo–, Christian Gálvez ha sido invitado al próximo congreso internacional del Proyecto Leonardo para ofrecer sus aportaciones al estudio de la viabilidad de la exhumación del cadáver de Leonardo con el objeto de completar un perfil genético lo suficientemente extenso como para encontrar el origen de sus habilidades, agudeza visual y sus características faciales.
Estos son los equipos involucrados en la investigación conocida como Proyecto Leonardo:
 
  • Instituto de Paleontología Humana de París, Francia.
  • Instituto Internacional de Estudios sobre la Humanidad de Florencia, Italia.
  • Laboratorio de Antropología Molecular y Paleogenética, Departamento de Biología de la Universidad de Florencia, Italia.
  • Museo Ideal de Leonardo da Vinci en Vinci, Italia.
  • Instituto J. Craig Venter en La Jolla, California.
  • Laboratorio de Identificación Genética de la Universidad de Granada, España.
  • The Rockefeller University en Nueva York, Estados Unidos.
  • Fundación Richard Lounsbery de Washington, Estados Unidos.

martes, 21 de marzo de 2017

Un hombre llamado OVE, candidata al Óscar por 24 de marzo



 
Como "El abuelo que saltó por la ventana y se fugó" y alguna otra de estilo nórdico, OVE habla de una segunda vida para un hombre que ya se considera acabado. Y total, Ove no llega a los 70 todavía, pero acaba de perder a su esposa que era el alma de su vida y de su mundo y no le gusta lo que se le viene encima ni lo que ve a su alrededor: los nuevos vecinos son gente con la que no tiene nada que ver y que, para colmo, son ruidosos, irrespetuosos con su silencio y su mobiliario urbano, llevan al perro suelto por el césped... Ove intenta suicidarse para irse con su esposa, se lo promete, pero cada vez que se pone la soga al cuello, hay algo que se lo impide: los vecinos le piden ayuda, tienen niños, no saben montar el lavaplatos... Ove ha de hacer frente a todos estos desastres que de una forma u otra, acompañados siempre de mucho ruido, le arrastrarán por fin de nuevo hacia la vida. ¿El ruido es vida?, parece pensar el director Hannes Holm.

"Un Hombre llamado Ove" está basada en el Bestseller internacional homónimo escrito por Fredrick Backman, publicado en más de 30 países.

En su estreno en Suecia sumó un total de 1,6 millones de espectadores, convirtiéndose en el gran estreno del 2016 en ese país.

"Un hombre llamado Ove" se ha convertido por derecho propio en el "sleeper" en su estreno en los EEUU, donde ya ha recaudado más de 3 millones de euros, con un Box Office internacional de más de 25 millones de euros.


Este viernes 24 de marzo estrenamos en cines #UnHombreLlamadoOve , Nominada a 2 Oscar y Ganadora como Mejor Comedia Europea en los European Films Awards.



 Trailer Oficial Español HD: https://www.youtube.com/watch?v=WcSPykJcgG4


"Un hombre llamado Ove" fue oficialmente nominada a 2 PREMIOS OSCAR. Compitió en las siguientes categorías: 
  • Nominada al Oscar a la "Mejor película de habla no inglesa"
     
  • Nominada al Oscar al "Mejor Maquillaje y Peluquería" 
Asimismo, desde su estreno en Suecia se ha alzado con numerosos Premios Internacionales, entre los que destacan:
  • Ganadora como "Mejor Comedia Europea" en la 29 Edición de los EUROPEAN FILM AWARDS.
  • Ganadora de 3 Premios Guldbagge, incluyendo Mejor Actor para Rolf Lassgård.
 

Han dicho de ella:

"¡Irresistible! La comedia que conquistará el corazón del gran público". Variety

"Esta película es una auténtica delicia, amable y hermosa que cuenta con un brillante guión"
. El Nuevo Herald (Miami)

"Un dulce y sorprendente regalo de película". National Post

"Una magistral mezcla de las cosas dulces y amargas de la vida con un reparto perfecto". Newsweek

 
"Una película sorprendentemente cálida y maravillosa. La comedia del año!". Huffington Post

"...te dejará sin aliento". Seattle Times

"...Geniales interpretaciones" . L.A.Times

"Una delicada y meticulosa comedia que enternecerá corazones y hará derramar alguna lágrima". Tribune 

 
"...tremendamente divertida. Supondrá un éxito arrollador". Rogerebert.com

FICHA ARTÍSTICA

Intérpretes: Rolf Lassgard ("Storm", "Inspector Wallander"), Filip Berg, Bahar Pars, Ida Engvoll, Tobias Almborg, Klas Wiljergard. 

SINOPSIS:  Ove es el gruñón de la urbanización. Un hombre solitario y obsesionado por las normas, que lleva de cabeza a todo el vecindario. Su mal humor empeora cuando es forzado a jubilarse de la empresa en la que ha trabajado toda su vida. Pero su vida da un giro cuando Parvaneh y su familia se convierten en sus nuevos vecinos. Lejos de hacer caso de sus continuas quejas, Parvaneh le responde siempre con su amplia sonrisa, dando pie a una amistad inesperada, devolviéndole la ilusión por disfrutar de la vida.

La dispersione, en LQM

Presentación de los dos primeros discos del sello dsp: 'The Curtain', con música de Purcell y Locke, de La Dispersione, y el doble CD con las 'Seis suites para violonchelo solo' de J. S. Bach interpretadas por Leonardo Luckert.

Un nuevo reto dentro del proyecto de La Dispersione que se suma al Curso de Música Antigua de Guadassuar (Valencia), referencia pedagógica en el campo de la música antigua desde su primera edición hace quince años.
La Dispersione ha cumplido ya 18 años, ha alcanzado su mayoría de edad y por ello se ha lanzado a editar dos discos: el suyo porpio, The curtain, y el de Leonardo Luckert. Para ello, y por haber alcanzado la mayoría de edad, ha creado su propio sello musical: dsp.


 Miguel Ángel García Cañamero (Director del Coro Nacional de España), Mario Guada (musicólogo y crítico musical) y Sergio Pagán (Coordinador de redacción y director del programa 'Música antigua' de Radio Clásica) serán los maestros de ceremonias.
La presentación del primero de los discos se hizo por medio de un video en que a la música de Purcell y Locke se une lo teatral en un patio de columnas de piedra precioso llamado Teatro Rocambolesc. Allí, los dos actores, andando en medio de los músicos y representando sus propios papeles mientras aquéllo stocan, representan las actitudes de los profanos ante la música: hablan de sus cosas, van, vienen, se impacientan, se arremangan, reflexionan en voz alta... Precioso espectáculo de una visualidad clara que deja casi en segundo término los sonidos.
El segundo se presentó con el propio Leonardo Luckert al violonchelo en vivo y en directo tocando las Seis suites para violonchelo solo' de su autor favorito J. S. Bach.
En la interpretación fue acompañado por los poemas correspondientes a cargo de dos recitadores, Rosa Salom y . Los poemas son de la madre del músico, Pipina, y hablan de colores. Colores que al músico le vienen sugeridos por los sonidos de la música y por su propia identidad emigrante y viajera, desde su Venezuela natal hasta aquí. Cada una de las Suites se corresponde de manera autobio con momentos traumáticos o felices de su intérprete en una simbiosos sinestésica inspirada por la excelencia del maestro J. S. Bach.
La dispersione & Rocambolesc Teatre, yutube


 

La Dispersione nace en 1999 con la intención de interpretar el repertorio musical europeo de los siglos XVII y XVIII con criterios e instrumentos históricamente fundamentados.
La agrupación ha actuado en diversos festivales y auditorios: Daroca, Gijón, Vélez Blanco, Peñíscola, Calatayud, Hellín, Cartagena, Alicante, Bilbao, Tlemcen (Argelia), Palau de la Música de Valencia..., colaborando en sus programas intérpretes como Barry Sargent, Olivia Centurioni, Juan Carlos de Mulder, Fernando Paz, Roberto Gini, David Sagastume, Lluís Vilamajó, Manuel Vilas, Leonardo Luckert, José Hernández-Pastor, etc.
Ha publicado en el sello Enchiriadis tres discos, dos de música española titulados El mundo al revés, con tonadillas escénicas de Blas de Laserna interpretadas por la soprano Erika Escribá-Astaburuaga junto con diversos fragmentos de óperas de Martín y Soler, y Martín y Coll, con música instrumental en uso recopilada por este organista a principios del siglo XVIII. El tercero, Flauto a Napoli?, contiene diversos conciertos para flauta interpretados por David Antich como solista.
Sus actuaciones y grabaciones han ocasionado titulares y comentarios como “Daroca se luce”, "Daroca resplandeciente" (Heraldo de Aragón, 09/08/2009 y 05/08/2012), “Un buen reencuentro” (Levante, 31/05/2012) sobre la actuación en el Palau de la Música de Valencia, “Es uno de los mejores discos de música antigua que he escuchado” (José Luis Pérez de Arteaga en El ojo crítico de RNE, 01/04/2011) o “la interpretación de Antich y compañía alcanza el grado de excelencia” (Diverdi, febrero 2013) y "el trabajo de La Dispersione es de una delicadeza y precisión impecables" (Melómano, junio 2013) sobre el CD Flauto a Napoli?.
La Dispersione organiza desde 2003 el Curso de Música Antigua que se lleva a cabo en Guadassuar (Valencia), en el que participan más de un centenar de alumnos interesados por la interpretación histórica. En las once secciones que comprende han pasado a impartir sus conocimientos  profesores de reconocida trayectoria, como Olivia Centurioni, Leonardo Luckert, Agostino Cirillo, José Hernández Pastor, Francisco Rubio, Pedro Estevan, Maricarmen Gómez Muntané, Ángel Medina, J. Javier Goldáraz

viernes, 17 de marzo de 2017

Presentación de la S Santa en Castilla y León: Y digo yo

 
 
 
 
¿tanto pedirnos que confirmemos para luego admitir a todos los canapistes de Madrid y alrededores (Alcalá de Henares, cárcel de Valdemoro, etc?
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

miércoles, 15 de marzo de 2017

"Rara", de Pepa San Martín, el 24 de marzo


A Sara le pasa lo que a Cameron con el referéndum del Brexitt, que lo convocó pensando y creyendo firmemente  que nunca iba a salir el SÍ y le salió el tiro por la culata. Ella juega y coquetea con el hecho de estar contenta con sus dos mamás, sin saber que en manos del padre (cercano y confidente sibilino) y de sus amistades "psicológicas", iba a resultar una bomba que la separara de sus dos madres llevándola a manos de su madrastra. Por lo demás, resulta una niña bastante manipuladora, como revieja en muchos aspectos, que sabe cómo exprimir a su favor el sentido de culpa y las rivalidades de sus padres, pero en este caso y por esta vez, le sale el tiro por la culata. La hermana pequeña, con ser un trasto, jamás hubiera imaginado semejante tontería. Lo más dramático con todo de la peli es que la mamá, abogada ella, en trance de perder la custodia de sus hijas, debe pasar una mamografía. El verismo de esta escena donde la teta se ve reducida a filete de emperador a la plancha, pone los pelos de punta a cuantas mujeres se hayan visto en ese trance. Se le junta todo, suele pasar, a la preocupada y ocupadísima mamá. Menos mal que su pareja no le falla y ahí sigue a su lado, con hijas o sin ellas, perenne como el ciprés.
 
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 La película ganadora de la última edición de Horizontes Latinos, en San Sebastián, llega a las salas comerciales de toda España tras un recorrido internacional que ha obtenido premios en Festivales como la Berlinale (Mejor Película en la sección GenerationKPLus) y el reconocimiento de público y crítica en diferentes países.
Rara está inspirada en un caso real en Chile: el de la jueza Karen Atala, quien en 2003 perdió la custodia de sus hijas por vivir con su nueva pareja, una mujer. En la película la historia se narra desde los ojos de las hijas, en particular de la que tiene 13 años, y va descubriendo a través de la mirada de su entorno que quizás sea “rara” su familia, su circunstancia…
 
 
Sinopsis:
Que te gusten los chicos, o igual encontrar que son estúpidos, ser súper cercana con tu mejor amiga, y aun así no contarle tus secretos, tener problemas en el colegio y unos padres aburridos: este es el tipo de problemas que enfrenta una niña de 13 años. Para Sara eso no tiene nada que ver con el hecho de que su mamá viva con otra mujer. Pero su padre no piensa lo mismo…
 
 
Directora: Pepa San Martín nació en Curicó en 1974. Estudió actuación y participó en numerosos montajes tanto como actriz y como directora. Se traslada a la capital (de dónde) el año 2004, donde comienza a trabajar en cine, siempre en el área de dirección donde se inicia como tercera asistente. A la fecha ha sido primera asistente en más de dieciocho películas donde ha trabajado junto a la mayoría de los directores de la nueva escena de cine chileno. El año 2011 estrena su primer trabajo como directora con el cortometraje “LA DUCHA” en el festival de cine de Berlín, donde gana el premio DAAD, consistente en una residencia de creación en Berlín donde dirige su segundo cortometraje “GLEISDREIECK”, elegido mejor cortometraje internacional en el festival de cine de Valdivia el 2012.

miércoles, 8 de marzo de 2017

L’Orfeo de Monteverdi, por Paul Agnew y Les Arts Florissants en los TT del Canal


 
 
 
Estreno en Madrid, dos únicas funciones con entradas agotadas los días 10 y 11 de marzo
 
Los Teatros del Canal presentan a Paul Agnew y Les Arts Florissants con su L’Orfeo de Monteverdi
 
·         L´Orfeo es considerada la primera gran ópera en la historia de la lírica
 
Los Teatros del Canal de la Comunidad de Madrid presentan el estreno en Madrid de la ópera  L´Orfeo, de Claudio Monteverdi, en una producción dirigida por Paul Agnew e interpretada por Les Arts Florissants. Este espectáculo estará en dos únicas funciones los días 10 y 11 de marzo en la Sala Roja.  Las entradas están agotadas.
Esta nueva creación es una coproducción de Les Arts Florissants, Théâtre de Caen y la Philharmonie de Paris, donde la agrupación es artista en residencia desde 2015. Así, los espectadores asistirán a una versión semi-escénica de la considerada primera gran ópera en la historia de la lírica (su estreno tuvo lugar en 1607) y en el año que conmemora el 450 aniversario del nacimiento del compositor italiano.
 
Les Arts Florissants ha abordado L’Orfeo en varias ocasiones, pero el montaje que  aquí se presenta es la primera producción de la obra dirigida por Paul Agnew, Director Musical Asociado de Les Arts Florissants. Agnew tiene aquí un triple papel: director musical, director de escena y solista vocal (Apolo). Cyril Auvity (Orfeo), coprotagonista, lidera el reparto de solistas. Muchos de ellos proceden de las ediciones de Le Jardin des Voix, la academia bienal para jóvenes cantantes creada por William Christie en 2002. La agrupación instrumental de Les Arts Florissants completa la formación.
 
Será una oportunidad única para ver y escuchar una de las obras musicales más inspiradoras en manos de Paul Agnew, dotado de una sensibilidad única que da a la voz y a la palabra el papel estelar que corresponde, y capaz de plasmar con decorados simples toda la profundidad y complejidad de la obra. Todo ello, acompañado por Les Arts Florissants, uno de los conjuntos más prestigiosos de la música barroca a nivel internacional.
 
Un L´Orfeo íntimo
 
“Esta producción es un Orfeo íntimo. La decoración relativamente ligera permite poner el trabajo en su contexto antiguo, situando la música, y a través de la música el texto, en el centro y como corazón del espectáculo y la experiencia del espectador. Con esta simplicidad se puede cumplir con el principio que rige toda la obra de Monteverdi: que el texto debe guiar a la armonía”, señala Paul Agnew.
 
“Orfeo es mencionado en la primera escena de la obra como un semidiós, nacido del dios Apolo y de una madre humana. Su relación con Apolo, el dios del sol, es fundamental para la obra. Esto me llevó a la idea de un templo al dios Apolo y me acordé de los numerosos círculos de piedra que se pueden encontrar en el norte de Europa. No estamos seguros de su uso original, pero hay una clara relación entre su posición y la salida del sol en momentos significativos del año. Por lo tanto, nuestro Orfeo se lleva a cabo dentro de un círculo de piedra, donde los aldeanos de la ópera de Monteverdi se congregan para celebrar la boda de Orfeo y Eurídice en presencia de Apolo”, reflexiona el artista escocés.
 
“Como era tradición en el teatro griego, la acción de Orfeo se lleva a cabo durante un período de 24 horas. La boda y la muerte de Eurídice durante las horas del día y el viaje al inframundo durante la noche. Orfeo emerge del Hades al amanecer del día siguiente. La simplicidad de esta tradición nos permite mantener un solo decorado durante toda la actuación, aprovechando la belleza de la colocación de piedras de pie en la luz, así como sus aspectos más siniestros y misteriosos en la oscuridad”, añade.
 
El Director Musical Asociado de Les Arts Florissants entiende que “de algún modo, la música de Monteverdi es un intento, a raíz de Peri y Caccini, de recrear una paleta de sonidos cercana a la antigüedad. La belleza de la música no depende del éxito de su reconstrucción y sabemos poco más ahora de lo que ellos sabían en el momento de su composición sobre la música de los antiguos griegos. No obstante y teniendo en cuenta este contexto, el vestuario de la producción se basa en imágenes de la época en la que el artista está tratando de recrear una visión de la Parnaso de la antigua Grecia. Para estas imágenes volví a Nicolas Poussin. Me parecía que la sencillez y la honestidad de estas escenas del pueblo encajan con las imágenes que Monteverdi crea para nosotros en la música”, afirma acerca del montaje.
 
“Como vemos a menudo en Poussin y Veronese, una generación anterior, los músicos son una parte integral de su visión de la vida pública, como lo son para nuestra producción, donde la vida del pueblo de Orfeo se llenará de cantantes y músicos tocando en el escenario de memoria. De esta manera, integraremos todos los elementos que inspiraron a Monteverdi en una imagen, en toda una experiencia para el público”, concluye Agnew para describir uno de los espectáculos de la temporada.

martes, 7 de marzo de 2017

Land of mine, estreno el 10 de marzo: ¡Son niños!

Land of mine (Bajo la arena) trata un tema ya trillado (las secuelas de la Segunda Guerra Mundial, con la derrota del nazismo) si bien tiene la virtud de hacerlo de manera novedosa y situarlo en tierras escandinavas (Dinamarca), donde un pelotón de jóvenes soldados alemanes se encuentra prisionero bajo la vigilancia del sargento danés Rasmussen con el encargo de descubrir y desactivar las minas enterradas en una playa paradisiaca. El grupo, compuesto por niños, deberá desactivar miles de minas nazis para limpiar las playas danesas. Una tarea que se convertirá en una tensa ruleta rusa.
Land of mine estuvo entre las 5 películas nominadas a los Oscar en la categoría de Mejor Película de Habla no Inglesa representando a Dinamarca. Inspirada en hechos reales, Land of mine descubre una historia muy poco conocida y sumamente polémica de uno de los momentos más trágicos que sucedieron a la Segunda Guerra Mundial en Dinamarca. Los odios entre vencedores y vencidos se muestran aquí en todo su absurdo  como ocurría en Frantz, cuando el amigo francés va a visitar a los padres de Frantz en Alemania. 
Por cierto, el sargento está buenísimo, y en la cara noble lleva el mejor espejo de su alma, no me extraña que empatice con los niños mártires de una guerra que no es la suya y que quiera salvarlos -y salvarse cumpliendo su palabra, a toda costa, aún por encima de la propia vida-. Un cañonazo de hombre digno de una épica y eso es lo que es la película en su justo término, la épica de este hombre que como John Wayne y los del Oeste, para muy bien la diligencia.
Martin Zandvliet es el guionista y director de esta película narrada con conmovedora tensión, y con algunas escenas que la prensa especializada compara con “En Tierra Hostil”. Ahora mismo, Martin Zandvliet está en pleno rodaje de “The Outsider” con Jared Leto.
 Land of mine (Bajo la arena) tuvo su presentación mundial en el Festival de Toronto y continuó su periplo por los festivales de Londres, Roma, Dubái, Tokio y Sundance, alzándose con los siguientes premios: 
 
 
3 PREMIOS en los EUROPEAN FILM AWARDS
Mejor Fotografía, Mejor Vestuario y Mejor Maquillaje y Peluquería
 
 6 PREMIOS ROBERT de la ACADEMIA DE CINE DANÉS
Mejor Película, Mejor Director, Mejor Guión Original, Mejor Fotografía, Mejor Montaje y el Premio del Público
 
PREMIO DEL PÚBLICO EN EL FESTIVAL DE GIJÓN
PREMIO DEL PÚBLICO EN EL FESTIVAL DE ROTTERDAM
 PREMIO DEL PÚBLICO EN EL AFI FEST DE LOS ANGELES
 
PREMIO AL MEJOR ACTOR EN EL FESTIVAL DE TOKIO
PREMIO AL MEJOR ACTOR EN EL FESTIVAL DE PEQUÍN
PREMIO A LA MEJOR PELÍCULA EN EL FESTIVAL DE GÖTEBORG
 
 

viernes, 3 de marzo de 2017

El fundador, 10 de marzo estreno en España

Soñando con San Bernardino: allí fue donde se fundó la primera tienda McDonalds, con la que soñaba siempre el genial MICHAEL KEATON cuando algo le fallaba.
Pues MICHAEL KEATON es quien da vida y garra y gracia a la falta de escrúpulos a este personaje de EL FUNDADOR DE MCDONALD’S, un tío sin escrúpulos, aunque un poco loco, eso le salva. Estaba harto de vender batidoras a tontos que no entienden el progreso, tenía sueños de grandeza, robó como todos los grandes.
     

SE APROPIÓ DE UNA IDEA Y EL MUNDO SE LA COMIÓ
 
El próximo 10 de marzo llega a nuestros cines esta película sobre estrategia y ambición, dirigida por John Lee Hancock (Al encuentro de Mr. Banks), con guion de Robert Siegel (El Luchador) y protagonizada por Michael Keaton (Spotlight, Birdman).

El Fundador narra la historia de cómo Ray Kroc, un vendedor de Illinois, conoció en 1950 a Mac y Dick McDonald, dos hermanos que regentaban una hamburguesería en San Bernardino, al sur de California. Impresionado por la velocidad de su sistema de cocina, Kroc visualizó el potencial de la franquicia y hábilmente se fue posicionando para arrebatárselo y crear el que hoy es el imperio de un billón de dólares.


Michael Keaton encarna al inconformista emprendedor Ray Kroc, junto a un elenco de lujo formado por Nick Offerman (Parks and Recreation) y John Carroll Lynch (Fargo) en el papel de los innovadores hermanos McDonald, cuyo sistema de producción en cadena marcó un antes y un después en la historia de la comida rápida;  Laura Dern (Jurassic Park) en el papel de la primera mujer de Kroc y Linda Cardellini en la piel de la mujer de uno de los primeros franquiciados y más tarde, señora Kroc.  Completan el reparto Patrick Wilson (Expediente Warren: The Conjuring) y B.J. Novac (The Office).

Una producción de Aaron Ryder de FilmNation y Don Handfield de The Combine.